S’il y a bien une qualité que doit développer l’auteur, c’est la foi. La foi non pas en son talent — il a le droit d’en douter — mais la foi en le travail. Il faut savoir douter, avoir des hauts et des bas, mais l’auteur doit garder cette foi indéfectible en sont travail, garder la conviction que ce travail le mènera toujours quelque chose.
Trop de foi — de confiance en soi — conduit à la médiocrité, trop de doute conduit à l’impuissance.